Filtrer
Rayons
- Jeunesse
- Bandes dessinées / Comics / Mangas
- Policier & Thriller
- Romance
- Fantasy & Science-fiction
- Vie pratique & Loisirs
- Tourisme & Voyages
- Arts et spectacles
- Religion & Esotérisme
- Entreprise, économie & droit
- Sciences humaines & sociales
- Sciences & Techniques
- Scolaire
- Parascolaire
- Dictionnaires / Encyclopédies / Documentation
Support
Romans & Nouvelles
-
-
Le célèbre romancier Pretextat Tach, prix Nobel de littérature et auteur de vingt-deux romans, est atteint d'une curieuse maladie incurable. Peu avant sa mort, ce vieil acariâtre, misogyne et misanthrope, est sollicité par les journalistes du monde entier, avides du témoignage qui tiendra lieu de scoop à sensation. Quelques uns, sélectionnés pour l'interviewer, vont pouvoir se confronter à lui.
-
-
Joué par l'auteur au Théâtre du Rond-Point en février 2006. Mise en scène et réalisation de Jean-Michel Ribes
-
-
-
-
Le texte de Shakespeare est mis en scène par Ned Grujic dans le huis-clos d'une chambre d'enfant. Seul en scène, Thomas Marceul incarne un adolescent confronté à la séparation de ses parents et à l'arrivée d'un nouvel homme aux côtés de sa mère. Enfermé dans sa chambre et à l'aide des objets qui s'y trouvent, il joue l'histoire de son héros Hamlet qui, comme lui, désire venger son père et punir sa mère. Un spectacle ludique et poignant sur la famille recomposée et le difficile passage à l'âge adulte.
-
Nyima Sherpa est porteur parmi des milliers de porteurs. Accompagnée de deux jeunes garçons, elle va de village en village et vend la marchandise qui remplit son panier. Elle n'a jamais vu l'Everest. De vallée en vallée, en passant par de hauts cols, des passages de rivières et des haltes dans des auberges, Nyima ravitaille et participe avec la sueur de ses seize ans à l'économie de l'Everest. Nyima est un porteur parmi des milliers de porteurs, petites vies laborieuses et fatiguées sur le chemin de l'héroïsme. Va-nu-pieds écrasés par des charges plus lourdes qu'eux, les porteurs montent en haut de l'Everest tous les jours.
-
A 88 ans, Naguib Mahfouz, seul Prix Nobel de littérature du monde arabe, accepte de se confier dans un document rare. Presque aveugle et atteint de surdité, marqué par les séquelles d'un attentat islamiste, il se révèle vif, drôle et lucide. Son enfance, la découverte de la littérature - égyptienne et étrangère -, sa discipline de vie, cette ville, Le Caire, qu'il n'a quittée que trois fois dans sa vie, l'intégrisme, le rôle de la femme, le devenir de la civilisation, le bien et le mal : l'écrivain laisse aux siens son vécu et sa vision de la société. "Le présent est ce que nous souffrons, l'avenir ce que nous espérons et le passé ce que nous aimons, qu'il ait été juste ou injuste !", Naguib Mahfouz nous livre quelques aphorismes. En Egypte, même ceux qui ne savent ni lire ni écrire, connaissent son oeuvre, rendue familière par le cinéma et la télévision. Avec la participation de ses proches, tel Gamal Al Ghitany, ce film nous aide à découvrir et ressentir l'univers de l'écrivain, à dessiner l'héritage qu'il nous laisse et évoque l'évolution de la société égyptienne.
-
Lakmissi est au fond du couloir, Miloud, la chambre sous l'escalier, Messaoud, chambre 13, Lakhdar, sous les toits, Cherif, au bout de l'allée : La peinture bleue méditerranée dont ils ont repeint les murs, n'arrive pas à masquer l'extrême vétusté de l'immeuble. L'hôtel meublé de Belleville où ils habitent depuis près de 40 ans menace de s'effondrer. Ce pays, la France, qu'ils ont rejoint pendant les Trente Glorieuses a accueilli leurs bras, leur force de travail mais ne s'est jamais souciée de l'endroit où ils habitaient. Les marchands de sommeil ont fui il y a longtemps devant l'ampleur des travaux à effectuer. «Je suis dans l'oubli" est l'histoire de ces résidents du 25 rue Morand. Ils se sont d'abord battus contre un arrêté d'expulsion puis une réhabilitation qui devait se faire sans eux. Leur combat pour être des acteurs à part entière de la réhabilitation de leur immeuble a porté ses fruits. Aujourd'hui, ils se préparent à quitter l'hôtel mais à l'issue des travaux, ils reprendront leur place dans l'immeuble refait à neuf.
-
Le tintoret d'apres jean-paul sartre - la dechirure jaune
Baussy-Oulianoff D.
- Gallimard
- 7 Juillet 2005
- 3260050641470
«En 1548, à Venise, sous le pinceau du Tintoret, devant les praticiens, les amateurs d'art et les beaux esprits, la peinture s'est fait peur. Une longue évolution a commencé, qui substituera partout le profane au sacré:froids, étincelants, givrés, les divers rameaux de l'activité humaine surgiront l'un après l'autre de la douce promiscuité divine. L'art est touché:d'un tassement de brumes émerge ce désenchantement somptueux, la peinture.» C'est en ces termes que Jean-Paul Sartre parle du Tintoret, Le Séquestré de Venise, dans son livre Situations, IV. Didier Baussy-Oulianoff s'est appuyé sur ce texte dit par Michel Bouquet pour nous faire découvrir l'oeuvre du Tintoret.
-
-
-
Contient 4 DVD (durée du programme : 9 h 10 mn) et 1 volume
-
2 DVD 5 - Format 4/3 PAL couleur multizone - Durée totale : 183 mn
-
-
-
-
-